Egalement sur https://www.facebook.com/ensemblepourepernon

jeudi 8 décembre 2016

Projet d'autoroute payante en Dreux et Chartres à la place de la Nationale actuelle

Pas très loin de chez nous, un enquête publique est ouverte sur le projet d'autoroute payante en Dreux et Chartres à la place de la Nationale actuelle au moins sur plusieurs tronçons.

Le projet arrive dans les phases décisives. Une enquête publique est ouverte, il y a des possibilités de consulter de l'information par internet et d'intervenir si nous le souhaitons.
Il semble qu'une grande partie de la population soit contre. 


Quelques informations sont disponibles  : 
  • http://www.154-12.centre.gouv.fr/ :  Le site officiel

Moyens pour s’exprimer : 
  1. Sur les registres de quelques mairies situées sur la N154
  2. Par courrier à Monsieur Michel BADAIRE Président de la commission d’enquête Préfecture d’Eure-et-Loir, 1 Place de la République, 28019 Chartres
  3. Par internet, site de la Préfecture d’Eure-et-Loir http://www.registre-numerique. fr/RN15
  4.  Une pétition : http://www.stprest- environnement.org/petition

samedi 5 novembre 2016

Le point sur le projet du lycée


Le point sur le projet du lycée

Historique

Depuis maintenant des années, souvent d’ailleurs à l’occasion des diverses
campagnes électorales, on reparle de la nécessité de construire un lycée sur notre territoire.
D’ailleurs, dans les années 90, un projet aurait pu se concrétiser, mais faute peut
être de mobilisation des élus locaux, où d’un montage trop compliqué, ce lycée a
été construit sur la commune de Luisant.

C’est l’actuel lycée Silvia Montfort, alors que l’agglomération de Chartres comptait déjà 3 établissements publics avec Marceau, Fulbert et Jean de Beauce.

Aujourd’hui

Les élus municipaux d’Ensemble pour Epernon avaient lors de la campagne municipale en 2014 pris l’engagement d’en faire un dossier prioritaire et nous l’avions formalisé concrètement, par courrier auprès des associations de parents d’élèves qui nous avaient sollicités sur ce dossier.

Nous avons demandé à la Région en 2015 comme nous nous y étions engagés, chiffres à l’appui, que ce projet de lycée soit ré-ouvert et puisse faire l’objet d’une nouvelle étude complémentaire (voir la lettre de Bruno Estampe et la réponse du Président de la Région).

Et le 16 septembre 2015 à Chartres, François Bonneau, Président de la Région, a annoncé en conférence de presse le lancement des études en vue de la
construction d’un lycée dans les franges franciliennes.

Il l’a aussi confirmé en venant à Epernon lors d’une rencontre avec les élus et les
associations de parents d’élèves.

Cette étude est en cours et a débuté par l’évaluation des flux de population qui
devraient s’installer dans notre secteur au cours des prochaines années. Le résultat de cette étude sera connu en octobre et nous vous tiendrons bien évidemment au courant comme nous le faisons régulièrement pour ce dossier sur notre page Facebook Ensemble pour Epernon, ainsi que sur notre site internet.

Si l’étude démographique confirme la nécessité d’un lycée local, ce que nous
pensons, il restera à trouver un terrain. Or, en réunion publique le 13 septembre
2016, Mme Ramond a parlé d’un terrain pour le futur lycée, et ce terrain à ce jour n’appartient pas à la mairie ...


Par ailleurs, ce terrain est situé sur la commune de Hanches, le long de la route
menant au Paty à partir de la départementale qui monte au Super U.
Nous pensons qu’Il s’agit d’un mauvais choix, car ce site est situé trop loin de la
gare et la route du Paty est en l’état inadaptée à la circulation et à la rotation de
nombreux transports scolaires (d’autres infos bientôt).

Ensuite, la départementale en question qui monte au Super U est déjà
actuellement une route dangereuse où hélas des accidents mortels ont eu lieu et
elle le sera pour les lycéens venant à pied, à vélo ou en scooter compte tenu de
l’augmentation du trafic résultant de cette ouverture au-delà du nombre important de camions qui l’emprunte et qui risque de s'accroître !

Un autre choix, bien plus judicieux, voire responsable, aurait été d’anticiper
l’implantation du futur lycée en ciblant un terrain municipal libre dans le secteur
situé sur un secteur plus adapté comme par exemple en face de la salle de la
Savonnière, mais la mairie a tout vendu pour l’aménagement de la ZAC à une
société privée.

Ce manque d’anticipation interroge et lorsque nous avons interpellé le maire lors de la réunion du 13 septembre 2016 sur un autre terrain plus adapté, celle-ci nous a répondu qu’un grand nombre étaient en secteur inondable et que pour le terrain situé sur la ZAC de la savonnière, il fallait construire des logements, car la commune en avait besoin.

Etonnant cette réponse consistant à justifier une impossibilité de construction en
secteur inondable quant au même moment on y construit une médiathèque, et
évoquer le besoin sur une zone où les programmes prévus depuis des années n’ont pu commencer par manque d’acheteurs ...

Voulons-nous réellement que ce lycée soit construit sur le canton d’Epernon ?

Voulons-nous qu’il le soit sur la commune d’Epernon qui est le chef-lieu de canton, la commune la mieux desservie par le train où d’ailleurs un grand nombre de parents des communes aux alentours prennent le train tous les jours pour leurs déplacements professionnels ?
Si c’est le cas, il faudrait faire preuve de plus de mobilisation et d’anticipation afin d’éviter qu’il ne soit construit ailleurs.

Ne ratons pas une nouvelle fois ce rendez-vous avec un futur si nécessaire à nos
enfants, comme ce fut déjà le cas dans les années 90.

Pour ce qui nous concerne, nous restons mobilisés, conformes aux engagements
publics que nous avions pris, et nous continuerons à vous informer sur ce dossier en temps réel sans démagogie ou manipulation, car notre seule ambition dans ce dossier est le mieux-être des enfants ...

A suivre

mercredi 7 septembre 2016

A propos du vote annuel des tarifs de l’école de musique


Notre intervention au conseil municipal du 13 juin 2016
L’année dernière exactement à la même époque nous avions déjà pris note d’une augmentation de 30 euros par élève adulte d’Epernon soit une augmentation de 8.5%.
Cette année, quelques nouveautés positives dans les tarifs :
  • La création d’un tarif étudiant pour les – de 25 ans
  • La création d’un tarif 2ème instrument
  • Un tarif « pratique collective » préparation au bac…
  • La baisse des frais d’inscription annuels de 57 ou 54 euros pour les enfants à 40 euros pour tout le monde
  • Le maintien des cours collectifs de chant et chorale qui étaient une nouveauté pour l’année scolaire 2015-2016
Tout cela s’applique aussi bien pour les élèves d’Epernon que hors Epernon.
Si nous avons pu constater qu’un travail de réflexion a été mené pour proposer une nouvelle tarification qui tienne compte de la demande de Mme Le Maire de baisser le coût pour la commune de 40 euros par élève, c’est sur les élèves sparnoniens que la différence pèse le plus, donc cela se traduit par :
  • Une augmentation de 50 du prix adulte. Pour mémoire, l’année dernière le tarif adulte sparnonien a augmenté de 30 euros. Soit 80 euros d’augmentation, soit +23% en deux ans
(pour rappel, on est passé de 351 euros en 2014, à 381 en 2015, à 432 euros pour 2016-2017)
  • Une augmentation de 2,35% des tarifs enfant d’Epernon, et même 6,5% si on retire les frais d’inscription
Il est intéressant d'étudier le coût par famille sparnonienne. Nous avons pris la calculette et effectué des simulations par comparaison sur trois ans, en prenant différents exemples de familles élèves de l’école de musique, composées de
  • Un adulte et deux enfants
  • Un adulte et un enfant
  • Deux enfants
Dans les trois cas l’augmentation est d’environ 5% pour les familles par rapport à l’année dernière, voire même de 10 à 14% sur deux ans.
Après la hausse des coûts l’année dernière, l’augmentation continue de manière encore plus significative cette année.
Si on peut, encore une fois, comprendre que la commune ait le souci de la maîtrise des dépenses de la collectivité, il n’empêche que cela pèse à nouveau sur les élèves d’Epernon qui financent déjà l’école de musique par leurs impôts.
Il ne suffit pas pour augmenter les tarifs d’Epernon, d’établir une comparaison avec les écoles aux alentours (que ce soit Rambouillet ou Nogent le roi d’autant que ce n’est pas si simple de comparer puisque les durées de cours ne sont pas les mêmes et que dans les deux cas l’école de musique est intercommunale) mais bien d’avoir un projet global et d’en discuter. Souhaite-t-on une école qui forme de futurs professionnels ? Souhaite-t-on une école qui permet de former une élite ? Souhaite-t-on proposer au plus grand nombre une formation musicale ? ou même pourquoi pas les deux ? Il nous avait semblé que les cours collectifs de chant et de chorale permettaient un budget équilibré entre le coût d’un professionnel de musique et les recettes des élèves…
Nous n’allons pas nous répéter par rapport aux idées puisque nous l’avions déjà évoqué l’année dernière, mais nous avons au moins deux nouvelles questions : quel est votre projet concernant cette école au regard du futur périmètre de la grande communauté de communes ? Où en sommes-nous des travaux dans cette école et y a-t-il de nouveaux projets de travaux ?
Vous l’aurez compris, nous votons non pour cette nouvelle augmentation.
Nous pouvons également ajouter que les tarifs dégressifs favorisent les familles de musiciens mais en aucun cas les familles modestes. Mettre en place un tarif en fonction du quotient familial, donc des revenus de la famille, permettrait davantage de mixité sociale au sein de l'école de musique et à davantage d'enfants de familles modestes d'avoir un accès à la culture.

dimanche 8 mai 2016

L'arlésienne de la piscine... (Nouvel épisode)

Depuis des années la piscine d’Epernon prend l’eau et on vous en promet une nouvelle, couverte...un jour sans doute.


Mais là, les rustines viennent de lâcher, le sol s’est effondré en partie et des travaux doivent être réalisés en urgence. 
 
Ouvrira-t-elle cet été et dans quelles conditions ?

A suivre ….

mercredi 27 avril 2016

Recette dite de la nouvelle école maternelle ... Du Sycomore.



Prenez une ancienne école maternelle (au Sycomore)
Transformez-la en maternelle intercommunale de la
Chevalerie (Droue)

Puis, fermez la maternelle de la Guesle

Ajoutez 2 préfabriqués en location à 50 000 € l’année

Créez une classe maternelle en élémentaire (L.Drouet)

Laissez fermer une classe maternelle (Billardière)

Attendre trois bonnes années pour construire la nouvelle
école

Ajoutez des frais d’étude, de démolition, de maîtrise
d’œuvre et d’aménagement pour plus de 5 millions d’euros
Et vous obtiendrez une nouvelle maternelle...

Au Sycomore !

Les arbres de la place de la poste ont des soucis à se faire....

Approchez Mesdames et
Messieurs !

Ici, on rase gratis

Après la place du Marché au
Beurre transformée en esplanade
de pierres, on envisage de
couper les arbres de la place de
la Poste !

À croire que pour cette
municipalité, le végétal doit se
transformer en béton, goudron,...

Mais bien sûr, toujours pour de
bonnes raisons : sécurité, accès
voiture, modernité.

Halte au massacre !

Interpellez les élus : contact@ville-epernon.fr

lundi 18 avril 2016

Redynamisation d'un centre ville

La redynamisation d'un centre ville à la sparnonienne :

A terme vous êtes sûr d'avoir 100% de désertification!

En milieu de matinée, un jour de semaine, un habitant se rend au laboratoire en voiture et va ensuite à la pharmacie. Il se gare sur l'emplacement "livraison" juste en face de la pharmacie.  Il a tort!
Quand il ressort de la pharmacie 5 minutes plus tard, la police municipale finit de lui infliger une amende.
Mais quelle amende !!!  
135€ !!
Non, il n'y a pas d'erreur de frappe.
 
Est-ce que cela vous donne envie de venir en centre ville?

mercredi 23 mars 2016

Intervention du groupe « Ensemble pour Epernon » sur le vote d’une demande de subvention pour la médiathèque, 21 mars 2016

Notre communication sur le projet de médiathèque,
qui se concrétise malheureusement :


Conseil municipal du 21 mars 2016, délibération sur le vote d’une demande de subvention pour la médiathèque. Intervention du groupe « Ensemble pour Epernon »
Notre position par rapport à votre projet de médiathèque n’a pas varié.
NON A VOTRE PROJET, OUI A UN AUTRE PROJET
Car nous le répétons, nous souhaitons une médiathèque.
Votre projet a augmenté d’un million en 2 ans depuis 2014 pour atteindre 2 700 000 euros TTC.
Certes, il y aurait des subventions, mais je vous rappelle que les subventions d’où qu’elles viennent reste de l’argent public donc de l’argent de nos impôts.
*Une somme exorbitante, qui n’arrête pas donc d’augmenter, pour un projet démesuré de construction neuve de 596 m² de Surface utile soit 600 m² (cf présentation faite en avril 2014), sur un terrain inondable et qui va créer des atteintes à une zone naturelle dont l’étude de 2012 indique qu’il faut la protéger car elle est – je cite – « d’une indéniable qualité » on parle aussi d’une « faune et flore typique d’une zone humide qu’il faudra essayer de préserver le plus possible » (page 25 de votre étude) ; à cet égard, il sera intéressant de voir ce que dira l’inventaire de la biodiversité communale que vous venez de lancer.
*Un projet inutilement coûteux quand on sait qu’un autre projet de médiathèque est possible dans un bâtiment de la ville déjà existant, tel que les Prairiales. Et d’ailleurs, l’expérimentation dans les Prairiales a déjà eu lieu de façon satisfaisante quand la bibliothèque avait dû déménager provisoirement suite à une inondation.
On pourrait tout aussi bien étudier l’aménagement du bâtiment actuel de la bibliothèque, Bâtiment qui est entièrement vide actuellement et qui fait plus de 200m².
En fait on pourrait tout simplement interroger nos concitoyens et avoir leur avis…
*Un projet dont l’étude de 2012 sur laquelle vous vous basez est en partie dépassée quand on connaît l’évolution technologique actuelle, que vous subventionnez vous-même par ailleurs, avec le développement de la fibre optique qui permet des téléchargements de très haut débit à domicile et donc le téléchargement à domicile pour la lecture numérique ; une évolution menée par le Conseil Départemental de l’Eure et Loir lui-même qui veut promouvoir – je cite - le « prêt de livres numériques et l’accès gratuit et illimité à de nombreuses publications (magazine Eurélien de février 2016, page 20) ».
*Un projet voulant cibler les jeunes de 15/25 ans et les attirer, ce qui est bien sur le principe, mais on sait très bien qu’ils préfèrent en majorité le téléchargement à domicile (sauf pour les BD).
*Un projet dont le coût va encore augmenter car il est dit dans cette même étude qu’il « y a une possibilité que le terrain soit miné » (page 25 de votre étude)
*Un projet démesuré quand l’on sait qu’il y a une médiathèque à Rambouillet à 12 km et une autre bientôt à Gallardon (encore plus près) subventionnée par le Conseil Régional qui, si on a bien compris ce que vous nous avez dit lors du dernier conseil municipal, ne financerait pas votre projet !
*Et puis, un projet de médiathèque présenté aux Sparnoniens d’une manière tronquée et incomplète, puisque selon l’étude de 2012, la surface utile réelle de la médiathèque proprement dite ne sera que de 210 mètres carrés sur les 600m², la médiathèque ne représente donc en vérité qu’1/3 du bâtiment que vous projetez !
*Un projet dont vous estimez les frais de fonctionnement annuels à 150 000 euros, ce qui nous parait peu au regard du projet ; ce sont des coûts qui vont peser chaque année sur le budget de la commune, et nous craignons qu’il en coutera plus que cela en réalité.
Pour conclure, il nous faut tous, tout autour de la table, voter et je dirais « voter courageusement ». Car pour rappel, s’abstenir, n’est pas un vote, ou plutôt c’est un vote qui ne compte pas.
En ce qui nous concerne, nous avons toujours eu pour habitude de voter favorablement toutes les demandes de subventions, mais là, trop c’est trop, nous ne voterons « non » à votre demande.






mercredi 16 mars 2016

Quel bel espace pour des canards ? Non : celui de la potentielle future médiathèque : Réagissez !!


Comment peut on imaginer un lieu de sauvegarde et de stockage  documentaire à cet endroit ?

NON AU PROJET DE MEDIATHEQUE ! REAGISSEZ !!

VENEZ MANIFESTER PAR VOTRE PRESENCE VOTRE OPPOSITION AU PROJET PHARAONIQUE DE LA MAIRIE DE MEDIATHEQUE A DEUX MILLIONS SEPT CENT MILLE EUROS SUR UN TERRAIN INONDABLE !
La mairie vient de lancer l'appel d'offres pour ce projet, que vous pouvez lire sur son site internet -http://www.ville-epernon.fr/Construction-d-une-mediatheque.html - et le conseil municipal du 21 mars prochain doit voter dans le budget primitif 2016, entre autres, le lancement concret de cette construction et la prévision d’un emprunt d’un million cinq cent mille euros destiné notamment au projet de médiathèque.
Le montant de cette construction a déjà augmenté de 1 million d’euros en quelques mois et nous pouvons penser qu’il existe encore des risques de dérapages financiers.
Cette médiathèque pèsera ensuite par son coût de fonctionnement de 150 000 € par an fortement sur notre budget de fonctionnement et cela au détriment de l’entretien de nos bâtiments, de nos rues, ce qui touche à votre quotidien.

DEMANDEZ UN AUTRE PROJET DE MEDIATHEQUE, CAR IL EST POSSIBLE ET MOINS COUTEUX DANS UN BATIMENT DE LA VILLE DEJA EXISTANT
NOUS COMPTONS SUR VOUS, CAR C’EST ENSEMBLE QUE NOUS POURRONS PAR VOTRE PRESENCE LORS DE CE CONSEIL, MANIFESTER NOTRE DESACCORD , SINON IL SERA TROP TARD !

lundi 1 février 2016

Qu'en est il du programme de re-dynamisation du centre ville ?


Dans son programme de 2014, la maire avait indiqué vouloir redynamiser le centre ville et la place Aristide Briand. 
Où en est-on deux ans après ? 
A part la création de quelques zones destinées aux clients des commerçants et limitées à 1/2 heure, aucun projet global d’amélioration de la circulation et du stationnement n’a été élaboré. Le dernier rapport du Conseil d'Architecture d'Urbanisme et de l'Environnement d'Eure-et-Loir demandait entre autre que la Ville fasse des efforts sur la signalétique. 
Or, le dossier est transféré à la Communauté de communes qui exerce la compétence tourisme : on constate donc que Mme RAMOND maire transfère le dossier à Mme RAMOND présidente de la Communauté de communes : comme cela, ce chantier va certainement avancer beaucoup plus vite ! Pour les commerces, la Ville se contente d’une charte sur les devantures, mais aucune réflexion pour développer l’attractivité commerciale n’est engagée alors que notre centre ville est mal en point depuis des années. Pour la redynamisation de la place Aristide Briand, la Ville veut abattre les arbres pour qu'on voie mieux les arcades. Mais quand nous proposons à la Ville l’installation à partir des beaux jours du printemps 2016 devant le café et la pizzeria de terrasses amovibles pour donner davantage d'espace aux clients, on nous répond en commission : " On a toute la durée du mandat pour le faire ». En résumé, où est la dynamique dans tout ce qui précède ? Ne cherchez pas, il n’y en a pas !

Nous proposons, nous, un plan d’urgence pour le centre ville consistant à créer par délibération du conseil municipal un périmètre de sauvegarde du commerce de proximité ; ainsi, toute cession de fonds artisanaux, de fonds de commerce ou de baux commerciaux intervenant dans ce périmètre pourrait faire l'objet d'un droit de préemption de la commune, c'est-à-dire du droit de l'acheter en priorité pour le rétrocéder à un commerçant ou un artisan. Voilà des mesures utiles et efficaces quand on sait notamment la difficulté des commerçants et artisans, qui voudraient se lancer ou s’installer, à faire face à des baux commerciaux en constante augmentation, ce qui a d’ailleurs provoqué, on s’en souvient, la disparition de la librairie de la place Aristide Briand.

De plus, nous pensons que la commune devrait faire appel au FISAC, le Fonds d'Intervention pour les Services, l'Artisanat et le Commerce. Ce fonds finance notamment des opérations collectives conduites par une commune visant à maintenir ou améliorer le tissu des entreprises commerciales, artisanales et de services dans les centres-villes.

Nous pensons également, qu’une action en relation avec les propriétaires des boutiques vides doit être engagée, car les friches commerciales sont un phénomène symptomatique du délitement des commerces de centre-ville : elles font état d’un vide commercial progressif de certaines rues, donnant aux passants un sentiment d’abandon et pénalisant de fait l’attractivité d’un centre-ville.
Pour cela, nous proposons 2 idées, les « magasin éphémère » ou « boutique-test ». Ce concept permet de mettre en relation des propriétaires de locaux vacants et des commerçants désireux de tester un produit ou un service pour une durée limitée.


Nous pensons aussi qu’il faut engager une action concernant l’habillage des vitrines vides.
Pour pallier le phénomène caractéristique des « dents creuses », qui accentuent l’impression de déliquescence d’une rue vidée en partie de ses commerces, et dans l’attente d’un repreneur, une solution pour la municipalité est de couvrir les vitrines vides par des vitrophanies : la ville peut utiliser ainsi ces espaces vides comme espaces de décoration ou de promotion des évènements de la ville ou son histoire (photographies, citations, dessins…)


L’habillage des vitrines vides peut notamment entrer dans les dispositions prévues par l’article L. 581-14 du code de l’environnement depuis la loi ACTPE du 18 juin 2014 : ce dernier dispose en effet que le règlement local de publicité élaboré le cas échéant par la commune « peut aussi définir des zones dans lesquelles tout occupant d’un local commercial visible depuis la rue ou, à défaut d’occupant, tout propriétaire doit veiller à ce que l’aspect extérieur de ce local ne porte pas atteinte au caractère ou à l’intérêt des lieux avoisinants ».


Voilà quelques exemples précis de notre volonté de redynamiser notre centre-ville, nous l’avons déjà proposé à la mairie, mais elle ne semble pas vouloir s’en saisir. 

Dommage …



dimanche 24 janvier 2016

Le site ensemblepourepernon.blogspot.fr reprend de l'activité.


Le site  ensemblepourepernon.blogspot.fr est le site de la liste Ensemble Pour Epernon, créé au moment de la dernière campagne électorale pour les municipales.